jeudi 31 janvier 2013

-> EN ACCORD AVEC LA NATURE

Robert Harvey Oshatz dispose d'un répertoire de projets uniques situés dans l'Ouest de l'Amérique.
La " résidence wilkinson " est situé sur une pente raide dans une zone densément boisée. l'espace de vie principal est située plus haut sur ​​le site, au milieu des cimes des arbres et de la faune qui l'entour.
Une attention particulière a été accordée au coté durables de la construction et à l'utilisation de matériaux noble (essence de bois, cuivre, verre...)
Le resultat laisse rêveur.






plus d'images sur : http://www.designboom.com/architecture/robert-oshatz-wilkinson-residence/

-> ENTREPRISE, RESEAUX SOCIAUX : JE T'AIME MOI NON PLUS.

Qu’en est-il de l’adoption des réseaux sociaux par les entreprises ?... Si les réseaux sociaux représentent un sujet intarissable ces dernières années, il n’en demeure pas moins que leur exploitation par les entreprises restait indéterminée. Pourtant sans aucun doute, la majorité des dirigeants appréhende leur montée comme une aubaine à saisir. En effet, les dernieres etudes nous révèle que les réseaux sociaux sont de loin considérés comme un enjeu primordial pour les décideurs. Néanmoins, il semblerait que l’entreprise adopte une posture schizophrène freinant une adoption complète et proactive de ces plates-formes de connexion.
 
Autrement dit, cette croyance ne se reflète pas sur le terrain. Cette enquête dresse un portrait en trois grandes caractéristiques principales. Une prise de conscience avérée Loin d’être négligés, les réseaux sociaux sont considérés par les entreprises comme un ciment communautaire important au sein d’un groupe. Ils répondent avant tout à un enjeu sociétal de mise en relation et de coopération. En effet, 88% des interviewés affirment que les réseaux sociaux contribuent à un changement profond en répondant notamment à un besoin de dialogue.

Contre toute attente, très peu de répondants perçoivent les réseaux sociaux comme un phénomène de mode éphémère, et considèrent bien au contraire que des bouleversements sont à venir. Pourtant, cette prise de conscience se matérialise difficilement, les entreprises ont encore du mal à mettre à profit l’exploitation des outils…

Une schizophrénie reconnue
L’étude met en lumière un point non négligeable : le monde de l’entreprise est relativement conscient de son inaction. Malgré une exploitation professionnelle importante des réseaux sociaux - 77% des personnes interrogées les utilisent - seuls 23% pensent que leurs entreprises sont à même d’en faire une utilisation marketing.

Un paradoxe qui montre avant tout un manque de maîtrise de leur part : elles sont 77% à chercher encore un chemin approprié pour mettre en avant leur expertise et probablement recueillir des informations sur les consommateurs. Si ces réseaux sont largement reconnus comme un puits d’informations et d’engagement clients, les stratégies employées restent encore timides.

L’e-réputation, un enjeu central désorganisé
Au delà du recueil de données, c’est l’image corporate qui est en jeu. Une majorité écrasante (96%) pense que l’e-réputation est centrale, mais seulement 44% estiment que leur entreprise est capable de la mesurer. Un problème de gestion institutionnelle qui prouve la faiblesse des entreprises face aux réseaux sociaux. Un handicap qui peut rejaillir inéluctablement sur la relation avec les consommateurs.



En somme, ce constat général montre l’état de lucidité des décideurs concernant l’importance de l’intégration des réseaux sociaux à toutes les couches stratégiques de l’entreprise.

A l’heure où les réseaux sociaux semblent être en phase de maturité et en quête perpétuelle de nouveaux services, les entreprises peuvent y voir une opportunité, notamment en termes de contenus.
source : Karima Benamer

lundi 14 janvier 2013

-> LE CORPS HUMAIN DEVIENT UN CHARGEUR DE BATTERIE



L’énergie produite par notre corps sert déjà à alimenter des outils d’entretien physique, voire carrément des clubs de sport : on appelle cela le Green fitness. Avec TEGwear, une startup américaine veut aller encore plus loin et faire de la chaleur corporelle une véritable centrale électrique...

Avec pour symboles les lunettes Project Glass de Google, le tracker de Fitbit, les smartwatches LiveView et Pebble ou le bracelet UP, les gadgets à porter sur soi ont l’innovation en poupe.

A l’instar de la très hype I’m watch, tous ces produits délivrent deux vérités fédératrices. L’une est un constat : les objets connectés constituent déjà le futur, avec un grand « F ». L’autre est une évidente prédiction : pour soutenir ce marché, il faudra de nouvelles sources d’énergie pour alimenter les appareils.
En reprenant la technologie des panneaux solaires, cette puce de 6 cm² transforme la chaleur de notre corps en énergie électrique. Collée à la peau ou seulement séparée par la fine couche d’un vêtement, TEGwear est capable de produire jusqu’à 3 volts et de recharger notamment un casque sans fil de smartphone.

« Nous absorbons la chaleur pour la convertir en source d’énergie grâce à un générateur thermoélectrique », précise le vice-président de Perpetua Power, Jerry Wiant. La formule physique magique derrière le projet est basique mais futée : notre corps produit en permanence de la chaleur, laquelle stimule les électrons, dont le flot génère de l’électricité.

Un nouveau marché frappé du sceau « green »

Toujours en développement, ce chargeur électrique ultra durable peut s’appliquer à une multitude de secteurs, de la santé à la sécurité en passant par la consommation électronique. Forcément, cela séduit déjà institutions publiques et sociétés privées. TEGwear a reçu une bourse de la National Science Foundation pour un bracelet expérimental permettant de tracer la localisation des victimes d’Alzheimer.

Des partenariats avec des marques d’écouteurs sans fil et d’autres accessoires pour smartphones sont également déjà scellés. Un nouveau marché va-t-il s’ouvrir dans deux ans ? Si oui, il sera profitable à la planète et c’est tant mieux. Comme le fait remarquer Perpetua Power sur son site Internet, TEGwear peut en effet se targuer d’être 100% écologique puisqu'il élimine les déchets métalliques des piles et autres batteries actuelles, très toxiques.

source : Benjamin Adler

lundi 7 janvier 2013