mardi 19 mars 2013

-> CROQUANT !

"Alien" cette nouvelle annonce, signée Leo Burnett London où un groupe est mis en difficulté par un de ses membres accro aux Kellog’s Crunchy Nut. Si dans les opus précédents, les personnes voyaient leur vie mise en danger par le trublion, dans ‘Alien’ c’est surtout une grande découverte scientifique qui est mise en péril.



Réalisé par David Lodge, en collaboration avec Ed Morris et Andy Drugan, directeurs artistiques et copywriter. 30 secondes.

vendredi 15 mars 2013

-> HOLOGRAMME DE PLUS EN PLUS REEL

Je ne suis pas contre le progrès, mais certaines nouveautés (ou en passe de le devenir) me font froid dans le dos. A l'heure où la société est nivelée, asceptisée a-t'on vocation en plus à la déshumaniser ?

la star japonaise de la pop Hatsune Miku
Intel, Beyoncé... Des effets spéciaux dans l’industrie du divertissement aux téléconférences dans le monde des affaires, les hologrammes sont en train de changer les possibilités de la communication d’aujourd’hui.

Par Benjamin Adler.
Et si les hologrammes envahissaient notre vie? En collaboration avec IQ by Intel, l'agence PSFK vient d'analyser l’impact de cette technologie encore naissante. L'un des exemples les plus populaires relève de la pure science-fiction : l’Holodeck de « Star Trek : The Next Generation ». Une fois à l’intérieur, les utilisateurs pouvaient y programmer l’espace pour virtuellement recréer n’importe quelle situation ou n'importe quel environnement dans une parfaite ressemblance avec la réalité. Evidemment, nous ne disposons pas encore d’une telle technologie et il faudra sans doute encore attendre plusieurs générations pour en jouir. Mais les prémices sont déjà là ou quand la réalité entend rattraper la fiction. Le Holodeck dépeint une image futuriste des possibilités de la télé-immersion, mais concrètement comment créons-nous des hologrammes dans le monde réel, loin des effets spéciaux des studios de cinéma?

L’hologramme est un procédé de photographie en relief. Il représente une image en deux ou trois dimensions apparaissant comme suspendue en l’air et donnant l’impression au public d’avoir en face de lui la personne virtuellement animée par la projection des images en mouvement. Dans quelques années, quand vous joindrez un collègue pour une réunion de travail à distance, vous ne vous contenterez plus de seulement communiquer verbalement avec lui. Il sera possible pour les deux d’être dans la même pièce, dans le même espace de travail. Cette interaction plus humaine sera atteinte grâce à la technologie perfectionnée à l’heure actuelle. L’hologramme est sur le point d’apporter des changements dans quasi tous les secteurs économiques.

Lors du concert de Beyoncé (http://vimeo.com/59002598) à la mi-temps du Super Bowl, le parquet en LED de la scène a créé un environnement 3D, offrant une magnificence visuelle à la performance live de la diva de la pop. On peut parier que cette technologie va très vite devenir monnaie courante pour les concerts.

Idem pour l’hologramme façon Tupac Shakur au festival de Coachella en 2012. Prenons l’exemple de la star japonaise de la pop Hatsune Miku, qui comme Beyoncé fait le plein dans toutes les salles et récemment au SXSW 2013. La grande différence, c’est que Hatsune n’est pas réelle : c’est une artiste holographique. Elle est devenue tellement célèbre que le groupe media qui l’a pensée et fabriquée a même organisé une tournée dans tout l’archipel. Si le consommateur est prêt à payer pour voir sur scène une star virtuelle, alors pourquoi ne pas carrément imaginer un show holographique ?

Travailler de son canapé tout étant au bureau !


Le jour viendra peut-être où les artistes n’auront plus besoin de voyager, se contentant de projeter leur avatar holographique sur des scènes partout dans le monde, pendant qu’il leur suffira pour cela de chanter dans le confort de leurs propres studios d’enregistrement. Une fois absorbé le coût de l’installation des écrans spéciaux dans les salles de concert, cela réduirait l’impact environnemental des tournées et offrirait au public une expérience encore plus éclatante pour moins cher.

L’hologramme peut aussi changer les capacités du télétravail, nous permettant de toujours être au bureau tout en étant chez soi. Qui n’a jamais rêvé de travailler dans le confort de son canapé sans sacrifier la qualité et l’efficacité ? Si vos collègues étaient des hologrammes et que vous pouviez transformer n’importe quel espace en salle de travail collaborative, vous pourriez travailler de n’importe où. Les experts prédisent que cela sera possible d’ici 15 ans. Lors d’une récente conférence en Turquie, le General Manager d’Intel, Cidgem Ertem, a donné sa présentation en hologramme, réduisant la distance entre elle et son audience.

Quand des dirigeants ultra occupés n’ont le temps ni de voyager, ni d’être dans deux endroits à la fois, la capacité de projeter leur présence n’importe où représente un impact inestimable. Une fois que des nouveaux standards de technologie et de transmission sont développés (comme par exemple le téléphone), l’histoire prouve que leur appropriation est rapide. Très vite avec l’hologramme, la distance et ses coûts inhérents ne seront plus des facteurs indispensables à la bonne conduite d’une société ou d’un art.

mercredi 6 mars 2013

-> ENCHANTER VOS CLIENTS

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"L’enchantement des clients" est un mot qui résonne particulièrement aux oreilles des dirigeants d'aujourd’hui. Mais au fait, de quoi parle-t-on ? De qualité de service ? De relation client ? D’excellence opérationnelle ? D’un autre mot pour décrire l’orientation client ? De solutions CRM ? Pour vous aider à y voir plus clair, nous vous proposons une visite guidée à l’intérieur du secret le mieux gardé des entreprises qui réussissent à enchanter leurs clients : l’expérience client.
Pour commencer il est temps de lever une ambiguïté : quand on parle d’enchantement, c’est bien d’expérience client dont il s’agit, d un “processus continu” composé d’un enchaînement de moments de vérité, sources de “petites” et de “grandes” émotions. Les “petites” émotions peuvent être liées à la mise en place de normes, mais c’est beaucoup plus difficile pour les “grandes” émotions.
Prenons la métaphore d’un “compte en banque émotif” : quand le compte est débiteur, le client sera insatisfait et frustré, et si le compte est créditeur, il sera satisfait et peut être même enchanté s’il est très créditeur ! L’enjeu, pour l’entreprise, est de savoir générer dans les différents moments d’expérience, plus de crédits que de débits … logique. Cela dit, il est inévitable que les entreprises générent du débit dans le compte en banque émotif de leurs clients, quelque soit l’ “excellence de service” offerte :
  • une réponse tardive à un courrier de réclamation n’est qu’un petit débit … alors qu’un client qui se fait insulter ou menacer au téléphone … ca c’est un gros débit dans le compte en banque émotif..
  • mais il y a aussi des débits qu’on ne peut parfois pas éviter, quand le client fait, par exemple une demande qui ne peut être légalement acceptée.
La question est donc bien de réaliser de nombreux crédits dans le compte en banque émotif : des petits, qui peuvent être normés, notamment liés aux respects des engagements, des délais … et des gros crédits à des moments de vérité clefs … des moments d’enchantement ! C’est ce principe qui fait de l’expérience client et de ses pépites d’enchantement les secrets les mieux gardés de certaines entreprises … !
Pour résumer, l’expérience client est la façon dont vos clients perçoivent l’ensemble des interactions avec votre entreprise. Elle est directement influencée par ce qu’ils pensent de vous quand ils cherchent de l’information, achètent, utilisent votre produit et peut être essayent de résoudre un problème. Sont ils excités, heureux, rassurés ou nerveux, déçus, frustrés ? … le lien avec l’enchantement ? C’est l’émotion qu’ils ressentent quand l’expérience a été exceptionnelle : quand il y a eu un gros crédit dans le compte en banque émotif !
Mais pourquoi l’expérience client ? Pourquoi maintenant ? Nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère , une ère où le fait de se concentrer sur le client compte plus que n’importe quel autre impératif stratégique. Les barrières concurrentielles du passé - capacité de production, pouvoir de la distribution, maîtrise de l’information, des coûts, des achats - sont impuissantes à assurer une différenciation pérenne. L’un après l’autre, chacun de ces investissements corporate s’est banalisé. Les barrières concurrentielles ont disparues. Renault n’est pas seulement concurrent de PSA, il l’est aussi d’Autolib : Avis qui vient de racheter Zipcar l’a bien compris . Au milieu de tout cela, le consommateur a plus de pouvoir que jamais. Avec les réseaux sociaux, les revues en ligne, et l’accès à l’internet mobile, il est devenu facile pour lui d’en savoir plus que les vendeurs à propos d’un produit, du prix, de la concurrence…Les règles ont changé et nous le savons tous.
Le management de l’expérience client est ce nouvel impératif qui consiste a créer et alimenter un ensemble de pratiques interdépendantes se renforçant mutuellement, à aligner les collaborateurs, les partenaires, les valeurs, les process, les politiques et les technologies autour d’une différenciation par l’expérience client. Il ne s’agit plus du “bon vieux message” sur l’orientation client : l’expérience client va beaucoup plus loin en intégrant une dimension émotionnelle, en mettant en résonance les perceptions du client et les valeurs de l’entreprise. L’expérience client convoque une autre façon de manager, de regarder profondément dans les process et de les challenger pour voir si on atteint l’objectif premier : faire vivre aux clients des moments sources d’enchantement, cette émotion unique qui a ceci d'intéressant qu’elle ne peut être copiée. Si le service - défini comme un ensemble de processus et de normes - est copiable, le travail sur l’expérience client ne l’est pas, car il contribue à bâtir une différenciation pérenne sur des dimensions subjectives et non exprimées connectées aux émotions du client.
Envisagée comme un projet d’entreprise, le management de l’expérience client, et l’enchantement qui peut en résulter, est clairement la nouvelle arme de différenciation massive !

lundi 4 mars 2013

-> RENE GRUAU

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René Gruau, nom indissociable de Dior, Balenciaga, le Lido, Givenchy, Balmain etc, etc.
Un reportage sur Arte (mars 2013) retrace le parcours d'un des plus importants illustrateur de mode du XXème siècle. Le modéliste franco-italien René Gruau a révolutionné le dessin de mode. Proche de Christian Dior, il contribua en 1947 au lancement du New look. Sa marque de fabrique : taille fine très marquée, poitrine ronde et haute, épaules douces, jupes en corolle. Gruau collabora également avec les grands couturiers Schiaparelli, Fath, Balenciaga et Chanel. Quant aux magazines de mode Elle, Marie-Claire, Harper's Bazaar, Vogue et Flair, ils s'arrachaient ses croquis d'une subtile élégance.

Site officiel
Wikipédia
sur Arte en rediffusion jusqu'au 12 mars
http://videos.arte.tv/fr/videos/rene-gruau--7349784.html

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samedi 2 mars 2013

-> LA PROXIMITE : L'ARME DES "PETITES STRUCTURES"



Retour sur un post datant de 2011 où la "proximité" est mis en avant. Pour Serge Papin, la relation entre les gens est plus importante que l’achat du produit. Il considère son groupe comme un créateur de liens et estime que l’intimité et la proximité se jouent au quotidien…

Entrevue filmée par Pascale Labout & réalisée en partenariat avec WE Agency