mercredi 30 mars 2011

-> STAR DE LA PUB

L'actrice britannico-américaine Elizabeth Taylor s’est éteinte à l'âge de 79 ans, le 23 mars 2011 à Los Angeles. Elle a succombé à une insuffisance cardiaque.



Véritable icône, elle a marqué le cinéma avec des rôles dans Géant (1957), La Chatte sur un toit brûlant (1958), Cléopâtre (1963), La mégère apprivoisée (1967). Elle incarne l’âge d’or, le glamour et la beauté des années 50.



Cette aura n’a pu échapper aux publicitaires qui ont trouvé en Liz Taylor et en ses yeux violets, un parfait vecteur d’image.



Elle devient très rapidement l’égérie de nombreuses marques : le chocolat Whitman, Lustre-Shampooing Crème, Lux savon, Max Factor cosmétiques et ArtCarved Diamonds.

source : DOCNEWS
Voir aussi : http://advertisingtimes.blogspot.com/2011/03/elizabeth-taylor-eternelle-egerie.html

lundi 28 mars 2011

-> MALABAR SE BARRE !


Il y a des nouvelles auxquelles on ne s'attend pas ! Mister Malabar est mort à l'âge de 42 ans. La marque Malabar change sa mascotte ! Symbole sympathique et vintage de plusieurs générations d'enfants et de plus grands, le Malabar c'était avant tout un personnage blond et musclé aux cheveux jaunes....



Le chewing-gum n'aura donc sans doute plus jamais le même goût, même si le fameux "bi-goût" reste d'actualité, comme le rose traditionnel du chewing-gum.
Ce n'est pas "Mabulle", espèce de grosminet déguisé qui développera le même imaginaire quasi fantasmagorique que procurait notre Musclor au T-shirt moulant. En envoyant sa mascotte à la retraite, Malabar prend le risque de renvoyer son chewing-gum aux oubliettes. On ne remplace pas impunément un subliminal super-héros d'ado ou de jeunes filles, et probable inavouable icône gay, par un chat noir cravaté et armé de lunettes noires.
Ce que la marque présente comme une "évolution" pourrait bien être considéré par certains comme une "trahison".
E-réputation et chiffre d'affaire sont à suivre pour savoir à qui donner raison.


Site à consulter : http://www.eighties.fr/publicite/477-chewing-gums-annees-80.html / http://www.malabar.fr/#/malabarmania/mabulle/


par : Frédéric Fougerat, éditeur de DirComLeBlog
source : influencia.net

lundi 21 mars 2011

-> THE STREET ART ?



Aprés Dulux et son «Let’s Colour» ou Red Bull et son Street Art Review, c’est au tour de Lipton, la marque du “Drink Positive” de promouvoir l’art de rue avec ce premier Positive Project à Sydney.

Il n’y a pas si longtemps, le street art, était encore synonyme de ″pollution visuelle″, ″dégradation″, ou ″vandalisme″. Aujourd’hui, les street artistes sont invités par les plus grandes marques, les graffitis sont à la mode. La rue et l’ensemble de l’univers urbain deviennent “hype”. INfluencia avait d’ailleurs interviewé sur ce sujet en décembre dernier le collectif Akrylonumerik.

Le premier grand précurseur est certainement Dulux Valentine, qui, il y a un an, a lancé le mouvement «Let’s Colour» destiné à donner envie à chacun de reconquérir son environnement et de le régénérer par des touches de couleur. Presque toutes les villes du monde ont ainsi été recolorisées par des peintres «amateurs».



Plus récemment, Red Bull a créé le Street Art View (voir l'article), sorte de musée virtuel participatif permettant à l'internaute d'apprécier et de partager -grâce à Street View-des graffitis et oeuvres picturales urbaines partout sur la planète.

Lipton, la marque de thé glacé du “Drink Positive” s’empare de la tendance. Mais il ne s’agit pas là de recenser des œuvres de street art, mais de demander à certains des artistes urbains australiens les plus connus en Australie de les créer. Pour l’instant l’opération intitulée "Project Green" a lieu à Sydney. Mais d’autres créations verront le jour dans le pays à Brisbane et Melbourne.




source : Alexandre Chomley / L'Enchanteur

mercredi 2 mars 2011

-> 2 MARS, SERGE ET LA PEINTURE

Pas possible de faire un post regroupant l'ensemble de l'oeuvre de Gainsbourg, certains site s'en charge très bien et son des plus complet... juste se rappeler qu'il avait aussi cette sensibilité pour le dessin et la peinture.

"Serge Gainsbourg, musicien, chanteur, compositeur eut comme première passion dès l’adolescence : la peinture. C’est son père qui l’amènera à cet art. Il s’inscrit aux Beaux-Arts en architecture mais choisit vite le dessin d’art. Il donnera même des cours de dessin. Admirateur entre autres peintres de Bonnard, Cézanne, Courbet, Francis Bacon, il sera l’élève de Fernand Léger. En 1958 il renonce à peindre et choisit le nom de Gainsbourg se référant au peintre Gainsborough qu’il cite d’ailleurs dans une de ses chansons : » Gainsbourg et son Gainsborough ont pris le ferry-boat ». Il regrettait de n’avoir pas participé à la période surréaliste et dadaïste. Paradoxe chez Gainsbourg qui considérait la peinture comme « un art majeur » qui lui apportait une certaine sérénité tout en n’étant jamais content de ses oeuvres qu’il jetait( certaines n’ont pas été détruites, l’une d’elle a été vendue à Drouot en juin 2007). Il voulait devenir un génie de la peinture alors qu’il savait n’avoir que du talent, ce qui était insuffisant pour lui. C’est alors qu’il s’orienta vers la musique, la chanson.

source : www.mesarts.fr

mardi 1 mars 2011

-> IDENTITE AUDITORIUM ORCHESTRE NATIONAL DE LYON

l’Auditorium de Lyon, une énorme coquille St Jacques de Béton datant de 1975 construite au cœur du quartier de la Part-Dieu. Les deux entités Auditorium et Orchestre National de Lyon sont indissociables. L’Orchestre est résident permanent de la salle depuis 1975. L’Auditorium-Orchestre national de Lyon produit dans ce lieu la plupart de ses concerts et accueille des formations invitées. L’arrivée d’un nouveau chef d’orchestre ( Leonard Slatkin ) et les évolutions de la structure administrative sont l’occasion de renouveler l’identité visuelle de l’établissement. Malheureusement, ce projet ne sera pas retenu.



1 : DEUX ENTITÉS SONT INDISSOCIABLES : Le «A» et le «O» sont rassemblés au sein d’un cercle. Symboliquement le «A» de Auditorium accueille le «O» d’Orchestre et inversement. Le décalage des deux lettres produit un effet d’optique qui donne une impression de mouvement au signe. La goutte du «a» pouvant être le point de départ d’une spirale imaginaire.

2 : LA GOUTTE : Empattement typographique qui évoque un certain classicisme.

3 : LE CERCLE :
Fais écho à la forme intérieure et extérieure de la salle, cela peut également évoquer une note de musique. On peut extrapoler jusqu’à voir des ondes musicales qui se propagent

4 : LA TYPOGRAPHIE : Le Newut, a été dessiné par André Baldinger en 2000. Il s’inscrit dans la continuité des caractères universalistes. Il en possède les qualités : lignes claires et précises, tracé classique, proportions équilibrées, formes ouvertes (assurant une bonne lisibilité en petits corps), adaptable à de multiples supports.

Le Newut a toutefois une particularité qui l’en distingue : ses capitales sont réduites à la hauteur des bas de casse. Cela permet de conserver leur dessin «monumental» (car elles proviennent des inscriptions lapidaires romaines) tout en approchant ce qui fait l’intérêt majeur des minuscules : leur lisibilité. En mélangeant les deux formes, le Newut atteint un équilibre qui lui permet d’être utilisé à la fois pour des textes courants (plaquette, formulaire) et comme caractère de titrage (affiche, couvertures).

UN RYTHME : En reprenant l’idée de lettres coupée, on donne un rythme aux mots… comme si certaines lettres étaient plus rapides ou plus lentes que d’autres… En plus de la mixité capitales-minuscules, ces coupures verticales la rendent immédiatement identifiable, en totale cohérence avec le signe.

5 : LE PLUS : Renforce l’idée d’association un lieu + un orchestre !

source : grapheine