jeudi 28 janvier 2010

LAMBORGHINI REVENTON ROADSTER

"Sans rentrer dans un débat idéologique, il y a des politiques à luxury-design face auxquelles nous sommes particulièrement favorables, si je prends l'exemple de Lamborghini qui annonce avec conviction et envie, l'intention de sortir un nouveau modèle chaque année, je pense que vous comprendrez le sens profond de ma pensée. Si la curiosité de voir arriver la remplaçante de la Murciélago maintient mon intérêt pour Lamborghini, je n'en suis pas moins sensible à l'arrivée de l'ultime cabriolet de la production automobile italienne et mondiale. Ils ne seront, une fois de plus, que 20 heureux propriétaires à se partager les faveurs de cette voiture sans compromis. Toutes les caractéristiques intrinsèques du coupé ont été conservées. Deux évolutions majeures sont à noter, la première évidente, la voiture perd son toit pour se découvrir de la plus sexy des manières quant au moteur il gagne 20 ch et se retrouve dans la configuration de la Murciélago LP670-4 SV. Nous nous retrouvons avec un roadster de 670 ch capable de vous emporter dans un tourbillon... à 330 km/h.

L'ambiance intérieure/extérieure proche de l'aéronautique furtive et la peinture mate exclusive dans sa livrée grise finiront de vous convaincre du potentiel de séduction de cet objet automobile.Je pense que vous aurez compris la subtilité de mon titre, sommes-nous en présence de la meilleure des Murciélago, la dernière ? Avant d'être confronté dans un futur proche à un nouvel engin extraordinaire, à moins que la Murciélago soit aussi déclinée dans une série Balboni ou alors encore plus incroyable en LP670-4 SV roadster ?Ce serait manqué d'ambition de vous dire que je n'aimerais pas conduire cette voiture, mais à une échelle plus raisonnable, quel bonheur ce serait de croiser sur la route les deux versions de la Reventon. Un rêve de mirage..."

source : luxurydesign ; Auteur : Pierre-Jean Manfréo
en voir plus

mercredi 27 janvier 2010

OCEAN, VOYAGE EXTRAORDINAIRE DANS LES PROFONDEURS MARINES

En salles le 27 janvier 2010, Océans, le dernier chef-d'œuvre de Jacques Perrin nous fait descendre dans les bas-fonds des océans, là où, dans un univers silencieux se côtoient des animaux extraordinaires semblant surgir d'un film de science-fiction. Filer à 10 nœuds au cœur d'un banc de thons en chasse, accompagner les dauphins dans leurs folles cavalcades, nager avec le grand requin blanc épaule contre nageoire... Le film Océans c'est être poisson parmi les poissons. Après Himalaya et Le Peuple migrateur, Jacques Perrin nous entraîne, avec des moyens de tournage inédits, des banquises polaires aux tropiques, au cœur des océans et de ses tempêtes pour nous faire redécouvrir les créatures marines connues, méconnues, ignorées. Océans s'interroge sur l'empreinte que l'homme impose à la vie sauvage et répond par l'image et l'émotion à la question : "L'Océan ? C'est quoi l'Océan ?"

en voir plus

OPPORTUNITÉ POUR LA PRESSE MAGAZINE ?

Comment redonner envie de se jeter dans la lecture ? Les Britanniques et les Américains ont tout compris. A adopter...

Créé avec succès en Grande Bretagne, en 2008, par le journaliste Steve Watson, Magazines Stack étend son concept aux USA. Plus qu'original, ce service par abonnement est gonflé et ne manque pas de créativité.
Il a pour ambition d'apporter le meilleur de la presse indépendante, souvent introuvable notamment en raison d'une diffusion restreinte, à un public élargi. Chaque année, selon la formule choisie, les abonnés reçoivent à leur domicile ou sur leur lieu de travail, 6, 8 ou 12 revues inattendues comme la britannique «Bad Idea» ou les hollandaises «The Electric Sheep» et «Foam» ou bien encore «Eye», «Mule», « Little White Lies», «The Ride Journal»...

Même principe pour Stack America, placé sous la houlette d'Andrew Losowsky, auteur, éditeur et co-commissaire de l'Independent Magazine Forum Colophom, mais sur un rythme bimensuel. Les lecteurs, forcément atypiques, curieux et friands d'innovation, ont communiqué, lors de leur abonnement le nom des journaux qu'ils lisent déjà. En revanche, ils ne savent jamais à l'avance celui qu'ils vont recevoir. Soigneusement sélectionné par Stack America, le magazine du moment est hors du commun grâce à ses mots, ses images, ses histoires, son design, sa construction et son imaginaire. Il doit être une source d'inspiration pour le lecteur en quête d'idées, d'avant-garde et d'une ouverture différente sur le monde. Celui-ci peut très bien être un publicitaire, un éditorialiste, un graphiste, un artiste ou un médecin qui souhaiterait enrichir les lectures de sa salle d'attente... Le lectorat américain recevra des publications spécifiques repérées aux USA bien sûr mais aussi au Canada et en Amérique du Sud.



Patterns of Creative Aggression from Steven Watson on Vimeo.


Autre avantage, chaque envoi sera accompagné de surprises en plus de l'édito d'A. Losowsky et d'encarts publicitaires d'annonceurs triés sur le volet. Conçu comme un véritable club privé, Stack America fait le lien entre des lecteurs avides de sens et de prospective mais qui n'ont pas toujours le temps, l'argent ou la mobilité pour traquer «la» publication, avec des titres qui n'ont pas le rayonnement ou l'audience qu'ils méritent, faute de moyens. Près de 3000 magazines indépendants sont ainsi concernés aux Etats Unis. En janvier, c'est notamment «Zoetrop : All-Story», publié par Francis Ford Coppola depuis San Francisco, qui aura les honneurs. Au programme : des histoires exclusives et courtes venues des quatre coins du monde et une personnalité en guise de rédacteur en chef exceptionnel donnant à travers ses choix, un ton et une ligne éditoriale bien particulière. Un échantillon qu'on voudrait partager.

source : influencia.net ; Florence Berthier

lundi 25 janvier 2010

NICK BRANDT : PORTRAIT D'ANIMAUX SAUVAGE

Le photographe anglais Nick Brandt expose ses sublimes photos animalières à la Young Gallery de Bruxelles. Lions, éléphants, zèbres et autres habitants de la savane shootés de très près et en noir et blanc. Impressionnant. Le cliché, somptueux, d'un lion de profil faisant face à la tempête, impérial, magnifique est l'un des plus célèbres de Nick Brandt.

Ce photographe anglais, installé aux Etats-Unis, a pour spécialité la photographie des animaux de la savane africaine. Mais là où la plupart de ses confrères se tiennent à distance de ces dangereux lions et guépards, Nick Brandt s'approche, lui. Il tient à cette proximité avec les animaux, il les veut dans leur habitat, leur univers. Il veut du ciel, des montagnes, de l'herbe.
A pied ou en voiture, Nick Brandt s'approche, donc, de ses sujets. Car ses splendides clichés en noir et blanc, il les voit comme des portraits. "On ne fait pas le portrait d’un être humain au téléobjectif, à trente mètres, en imaginant rendre un peu de son âme ; on s’approche de lui", dit-il. Et c'est pareil pour ces majestueux animaux dont il nous transmet un peu de la divine grâce.
Une beauté animale que Nick Brandt renforce grâce à un minutieux travail de retouche qui donne parfois un air de cliché ancien à ces photographies récentes d'un monde sauvage insidieusement sapé par les activités humaines.


Ces clichés récents de Nick Brandt sont réunis dans un livre, Afrique au crépuscule, édité aux éditions La Martinière (132 pages, 39 €).

Jusqu'au 13 février 2010.
Young Gallery, Avenue Louise 75B,
Wiltcher's Place, Conrad Hotel, Bruxelles (Belgique).
Ouvert du mardi au samedi de 11h à 18h30.

source : Léonor de Bailliencourt - Décembre 2009

CHANGEMENT CHEZ JOKER

Joker, la marque de jus de fruits préférée des Français, réinvestit le petit écran avec une nouvelle campagne de publicité pleine de vitalité. Avec cette nouvelle plateforme de marque, Eckes Granini France continue de soutenir le développement de sa marque leader qui se positionne plus que jamais en moteur de la catégorie. Le premier volet de la campagne s'appuie sur deux films à la tonalité humoristique, « Car wash » et « Zoo », qui jouent la carte de la connivence et de la proximité avec le consommateur. Un parti pris qui s'illustre dans le choix de la signature : « Joker, votre plus grand supporter ». Coup d'envoi le dimanche 24 janvier, à 20h45 sur M6 !

En 2010, Joker réinvente son contrat de marque et renoue avec ses fondamentaux : son lien particulier avec les Français issu de cette histoire commune et partagée depuis plus de 70 ans. Cette nouvelle plateforme qui renforce son capital symbolique et émotionnel donne un nouvel élan à la marque.

En investissant le territoire de la confiance en soi, la marque enrichit sa promesse au-delà des bénéfices rationnels de ses différents produits (vitamines, naturalité, 100% pur jus, pulpe, antioxidants, etc...). Dans un marché où sa différence produit (réelle) par rapport aux MDD est difficile à expliquer, Joker a cherché une différence symbolique pour reprendre l'avantage sur ses concurrents. Au-delà du soutien physique que toute marque peut revendiquer, Joker a choisi de mettre en avant le soutien moral que seule une marque de confiance pouvait proposer. Désormais, Joker devient le « plus grand supporter » des consommateurs, en apportant à chacun stimulation et confiance pour bien démarrer la journée et affronter tous les petits challenges du quotidien.

Sur le marché très concurrentiel des jus de fruits ambiants, dominé par les MDD, Joker dispose ainsi de tous les atouts pour contribuer à renforcer le développement d'Eckes Granini en France, conformément à son ambition de leader.

Un dispositif de communication à 360°
Développé avec l'agence Change, le dispositif prévoit dès la fin Janvier :
- une première vague de publicité déployée sur 8 semaines en télévision (France Télévision, chaînes de la TNT et M6) ;
- un relai promotionnel en magasins, avec deux opérations complémentaires : « Relevez votre plus grand défi avec Joker en gagnant 1000€ par jour » et une prime directe sous la forme de verres Joker offerts pour l'achat de produits Joker Pulpéa ;
- et sera enrichi par d'autres actions qui feront vivre le contrat de marque de manière à la fois étonnante et toujours plus proche du réel dans le courant de l'année.


source : DOCnews

COMPORTEMENT DES PROFESSIONNELS DE LA COMMUNICATION FACE AUX NOUVEAUX MÉDIAS.

Waggener Edstrom France, cabinet de conseil en communication globale, a mené une étude auprès de directeurs de communication et de journalistes - en partenariat avec la Junior entreprise d'HEC - afin de savoir comment ils appréhendent et utilisent les nouveaux moyens de communication mis à leur disposition aujourd'hui.
Waggener Edstrom Worldwide (WE) s'intéresse aux changements qui s'opèrent ces dernières années au sein des professions de la communication. L'apparition, puis le développement massif et fulgurant des supports digitaux, également appelés « nouveaux médias », et plus particulièrement du web 2.0 et des réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter, bousculent en effet les codes de la communication, les méthodes pour communiquer ainsi que les fonctions des acteurs de la communication en France.

Afin de mieux comprendre cette évolution profonde qui influence de manière inégale l'ensemble des entreprises communicantes et des professionnels affiliés, Waggener Edstrom a commandé à l'école HEC Junior une étude réalisée au mois de novembre et décembre 2009 auprès de 41 directeurs de la communication et 15 journalistes en activité.

Qu'il s'agisse de campagnes de communication événementielle, commerciale ou corporate, ces professionnels de la communication ont été interrogés sur leur opinion quant à ces nouveaux médias, l'utilisation qu'ils en font, mais également les craintes qu'ils ont encore à leur égard et les freins qui subsistent à leurs yeux.

Le triple objectif de cette étude est:
- D'identifier la perception qu'ont les acteurs de la communication de leurs fonctions dans ce nouveau contexte global,
- De comprendre comment ils envisagent l'évolution des métiers de la communication avec les nouveaux médias,
- De déterminer leur avis sur l'impact et la légitimité de ces nouveaux médias digitaux selon le type de communication (produit, évènementielle, corporate).

Une trentaine de questions relatives au développement des nouveaux médias et aux changements qu'ils ont apportés à leur manière de travailler, de communiquer mais également de recruter, ont été posées à 41 directeurs de la communication et à 15 journalistes. Il en ressort que :
- les professionnels de la communication ont majoritairement conscience du changement et qualifient pour la plupart cette évolution de « positive »
- plus de la moitié des directeurs de la communication se prononcent en faveur de l'externalisation des fonctions relatives aux nouveaux medias quand d'autres souhaitent privilégier le renforcement des équipes en interne et la formation.
- les directeurs de communication pensent que les journalistes encouragent le développement des nouveaux medias.
- si certains supports numériques semblent déjà trouver leur place dans les campagnes évènementielles et les lancements produits, les nouveaux médias ne sont à ce jour pas plébiscités pour la communication corporate.
- les journalistes jugent sévèrement les compétences des entreprises relatives aux nouveaux medias et préconisent l'externalisation.
- s'ils encouragent l'utilisation des nouveaux medias, les journalistes privilégient encore les compétences traditionnelles.
- la majorité des journalistes préfèrent aujourd'hui encore les dossiers de presse aux blogs d'entreprises pour la communication corporate.
- malgré des changements observés, les contacts entre les journalistes et les entreprises demeurent traditionnels.


source : DOCnews