Ainsi, on peut estimer "l'empreinte carbone" de chaque titre : « Like a virgin » de Madonna coûte 33 litres d’eau, « Love me tender » d’Elvis score un peu moins avec 26 litres tandis que « Thriller » de Michael passe dispendieusement la barre des 54 litres. Une bonne raison pour abandonner toute velléité de star et de se contenter d’un passage rapide en cabine.
Une excellente campagne de presse brésilienne réalisée par l’agence Fischer & Friends pour SWU, un organisme qui se bat pour un monde basé sur la durabilité.



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